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23 août 2020 7 23 /08 /août /2020 16:30
La Covid 19 et  le chercheur qui trouve

Le Professeur Marseillais  Didier Raoult,

Le microbiologiste chevronné,

Se trouve au cœur d’une polémique injustifiée, 

Pour avoir soigné des malades sans les randomiser.

 

L’ordre des médecins est entrain de lever le ton

Sur un scientifique qui n’a pas suivi comme un mouton,

Pour avoir appliqué un traitement,

Qui a fait ses preuves en d’autres temps.

 

Il risque de le rayer de leur groupement,

S’il s’avère que le protocole d’hydroxychloroquine  n’est pas concluant,

Or,  ceux qui l’ont administré n’ont pas suivi les enseignements,

Il fallait le donner dès le début de la gestation.

C’est ce qu’il a fait à son niveau  et les résultats sont percutants.

 

Il avait insisté que dès le début il fallait prendre le traitement,

A croire que cet acharnement est fait sciemment,

Il n’est nullement responsable de ces agissements et de ces tergiversations,

Son nom restera à jamais gravé dans l’esprit des gens.

 

Il est dit que " celui qui sauve un être humain, c’est comme s’il avait sauvé l’humanité,

Et celui qui tue un être humain, c’est comme s’il tuait toute l’humanité"

Et cela est bien précisé  dan le Coran,

Surtout  si le mobile est pour une question d’argent,

Cela dépasse tout entendement

 

Pr. Nadia Lallali

Sociologue, auteure et poète

Alger,  le 15 juin 2020 pendant le confinement.

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12 avril 2019 5 12 /04 /avril /2019 06:12

 

L’heure a sonné pour les  3 B,  ils ne pourront pas longtemps résister,

Car ils sont à l’antipode de la volonté de ceux qui ont manifesté,

Et ne peuvent s’imposer sur le dos des concernés,

Dont  leurs doléances sont justifiées

Et même avec la traque et la matraque, les résistants  ne vont pas reculer,

 

Même si c’est pour une durée limitée,  Ils ne pourront pas perdurer,

Devant tout un peuple vigilant et qui reste mobilisé,

C'est pourquoi, le despote   étant parti,

 Il faut que toute sa clique soit poussée comme lui, à la sortie 

Car ils sont issus d’un système révolu et honni,

À cause des scandales qu’ils ont servis.

 

On apprend que N.  Bédoui a tripoté la démocratie

Et que A.  Ben Salah, bien qu’il porte le nom est illégitime pour diriger l’Algérie,

Étant en complète contradiction avec la Constitution,

Qui stipule qu’il faut être  originaire de souche du même pays,  

Or, même naturalisé, il reste  Marocain, d’un État souverain,

Quand d’autres, ont été évincés  pour les mêmes raisons, aux dernières élections. 

 

Tayeb Belaiz a également failli en prêtant serment, tout en  déjouant la légalité,

Par le fait de valider une  manifeste  invalidité,

Ayant pris parti  de servir l’ombre d’un Homme et non une population,

Sans se soucier de choquer l’opinion,

En tant que président  impotent, à la tête de toute une Nation.

 

Aussi, Il est facile de les relayer  parmi les opposants,

Quand le droit a déjà été bafoué,

Faisant  partie d’un système corrompu et moribond.

Car ce trio est vu comme des malfaiteurs, qui pourront encore récidiver.

Et ce n'est pas avec  des canons stridents,

Que les voix qui se sont enfin  exprimés pourront être étouffées.  

 

Alger, le 12 avril 2019

Pr. Nadia Lallali 

Sociologue de formation

 

 

 

 

Ce que veut le Hirak en Algérie
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2 avril 2019 2 02 /04 /avril /2019 22:30
Abdelaziz Bouteflika : la chute

Il faut savoir quitter le navire,

Quand il chavire,

Le peuple et son armée,

 L’ayant décidé et même exigé,

Le changement en Algérie, se fait véritablement au printemps,

Sans affrontement, seulement  par la persuasion et l'argument. 

 

La politique c'est de la prévision,

Et non de la prestidigitation,

C'est la goutte d'eau d'un cinquième mandat,

Ruser avec un dépôt ne se fait pas,

Surtout quand il s'agit de bafouer la loi.

 

La Constitution n'est pas un prêt à porter,

Selon les convenances d'un pouvoir personnel démesuré,

Elle sied après une élection,

Pour de meilleures dispositions, 

Et non pour servir des ambitions.

 

Il y a eu trop de soulèvement et d'indignation,

A son bilan, il y a eu quelques bonnes actions,

Mais qui paraissent infimes devant l'ampleur de la corruption,

Car elle s'est généralisée à tous les niveaux de la hiérarchie et des institutions,

Aussi, l'annonce de sa démission a suscité un grand soulagement. 

 

 

Pr.  Nadia Lallali

Sociologue de formation 

Alger, le 2 avril 2019*

poème publié par le Quotidien le Matin

 https://www.lematindalgerie.com/abdelaziz-bouteflika-la-chute

 

 

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22 mars 2019 5 22 /03 /mars /2019 08:57
Nul n'est indispensable !

Nous sommes à un tournant décisif de notre histoire et se taire, c’est se rendre complice d’une situation qui va au pourrissement. Il faut bien se rendre à l’évidence devant cette foule  scandalisée que  l’Algérien ne supporte pas  la (hogra) : le mépris. Le 4e mandat a fait grincer les dents, mais on supposait que le Président de la République pouvait encore miraculeusement se rétablir après son AVC, tout en supportant les railleries de l’étranger. Mais le Président A. Bouteflika  a fait peu d’apparitions et aucun discours apaisant, sinon que d’avoir par médias, la presse, certains partis   et officiels interposés : «  Le Président  A. Bouteflika  a dit, Le Président  A. Bouteflika a fait et maintenant Le Président  A. Bouteflika a écrit. » C’est grotesque !   Ça frise la tragédie quand on voit qu’il n’a pas pipé mot depuis. A Chaque fois que j’entendais son nom, mes oreilles grinçaient car cela sonnait faux.

Or, après  six ans de patiente, on s’est rendu compte que sont état était irréversible !  Il a stagné à part de pouvoir bouger la main, il n’a pas retrouvé son autonomie, ajouté à cela une aphasie qui l’ empêche d’articuler. La maladie peut arriver à chacun de nous, ce n’est pas une tare en soi et ceux qui par fatalité, pensent que c‘est à Dieu d’y mettre fin, on peut penser que le pouvoir lui a été ôté quand il a perdu tous ses moyens. C’est une autre façon de voir la réalité et le 4ème mandat était déjà  le mandat de trop. J’avais exprimé mon ressentiment déjà à ce moment-là par une lettre ouverte(1) car sa candidature m’avait choquée. Il y a eu également une levée de boucliers  comme le mouvement ‘’ barakat » qui est sorti spontanément manifester et a été réprimé vigoureusement dans l’œuf car ses éléments et à leur tête le Dr Amira Bouraoui  n’étaient pas encore nombreux.   Maintenant c’est tout le monde, à l’échelle nationale  et internationale qui dit ‘’ ça suffit ‘’ et ne veulent plus cautionner encore  cette mascarade.

Cette fois la pilule n’est pas passée, sa candidature, validée par le Conseil Constitutionnel était ‘’la goutte d’eau qui a fait déborder le vase’’.  Surtout que l’état de santé du Président s’est tellement dégradé qu’il ne peut plus assurer aucun rôle lié à ses obligations ; Aussi sa personnalité est devenue inadaptée à son statut. En outre, le fait de s’être inscrit parmi les candidats à la course et demander d’emblée une année a eu pour effet de distendre encore plus le fossé entre les citoyens et ses gouvernants car ils ont pu faire la lecture suivante : Donnez-nous une année pour pouvoir encore modeler la Constitution et ajouter ce qui a été omis afin d’assurer la survie du système, Le peuple a compris qu’il y avait un problème de gouvernance et que la gabegie était étendue par ceux qui tenaient les reines du pouvoir, surtout après la douche froide du recours à la planche à billets. C’est bien un aveu d’échec patent. Cette lettre a eu l’effet d’une révélation, laquelle loin de calmer les esprits a jeté de l’huile sur le feu car elle a montré par cette prorogation qu’il y avait un enjeu ; leur intérêt personnel à sauvegarder. Il n’est pas étonnant dans ces cas, que les avocats, les  juges réagissent vivement à cette entrave, en demandant la séparation des pouvoirs  et leurs présences aux manifestations les honorent.  C’est une réaction normale car ils se retrouvent en conflits de rôles  entre défendre le droit des citoyens et le premier magistrat qui enfreint la Constitution et que Mr Ali Benflis nomme ‘’ les forces extra constitutionnelles ‘’. La première par l’attestation de complaisance car tout le monde sait qu’il n’a plus les compétences nécessaires pour jouer son rôle de Président, soit la plus haute fonction de l’Etat. Ne dit-on pas ? ‘’Qu’il faut l’homme qu’il faut, à la place qu’il faut ’’. Pour nos sophistes et philosophes de la première heure qui pensaient déjà à une cité idéale et à une République, ne pas avoir un statut qui correspond aux capacités de la personne, c’est la première injustice en soi et la première violence qui entraîne des Révolutions. Du jamais vu dans l’histoire, un Président dans une incapacité totale pour un poste aussi prestigieux,  on le fait encore gouverner, d’où cette forte indignation de la population. Alors, qu’il avait dit : ‘’ moi, je ne suis pas Mosmar ‘ jha ‘’.  Des pans entiers de compatriotes  rejettent cette candidature de la honte car on a beau dire que l’attestation médicale a été  validée pour le 4e mandat  par le Conseil Constitutionnel, les Algériens ne croient qu’en ce qu’ils voient.  Enfin, l’ultime manœuvre est  le fait même de stopper le processus électoral dans sa lancée, sans faire fi de l’attente des citoyens et  des candidats qui ont peiné à rassembler les 60 000 signatures pour souscrire  aux exigences du Conseil Constitutionnel  et celui -  ci sans raison valable accepte les directives de  l’annulation des élections, sous prétexte que le Président A.  Bouteflika renonce à se présenter  et il est décrété qu’elles seraient  repoussées à une date ultérieure, n’excédant pas une année. Nous voilà de force devant le fait accompli avec en prime, l’économie du risque aléatoire des urnes, au vu de ses gigantesques manifestations.  

Ils auraient pu s’entendre dès le début sur un candidat du sérail valide, il n’y aurait pas eu cette levée de boucliers, seulement il y a eu la tentation de la facilité avec le risque zéro.  Par cette volonté partisane à présenter une personne qui n’est pas conforme au statut de Président dont il ne peut plus jouer aucun rôle, ni se déplacer pour négocier des projets, ni recevoir des personnalités et des chefs d’Etat, ni donner des conseils avisés, ni rassurer son peuple par ses interventions. Au contraire, par cette représentation négative et laquelle a même été brandie en son absence sous la forme d’un cadre, ils ont montré leur parti pris pour leur caste sans faire fi des intérêts suprêmes de la Nation et c’est pourquoi maintenant, il y a le retour de manivelle par la population qui fait un rejet de tout le système.  Maintenant c’est trop tard car il n’y a plus aucune  confiance,  mais juste de la défiance à toutes doléances qui sont rejetées  en masse. Les manœuvres  à vouloir s’accrocher au pouvoir à tout prix, suscite la suspicion car cela dénote une volonté de vouloir faire les prolongations pour une question d’intérêts étroits et personnels.

Mr Gaïd Salah peut encore redorer son blason terni, en disant ‘’ basta ‘’ ça suffit ! Ce n’est plus une question de loyauté envers un dirigeant, mais d’honnêteté envers un peuple. A défaut de ne pas avoir appliqué l’article 102, en son temps, il peut encore  mettre  fin  au désordre,  en relançant au plus vite la machine électorale, tout au plus un mois ou deux après l’expiration du mandat présidentiel pour éviter les dérapages et c’est au nouveau président de revisiter la Constitution avec l’aval et la participation de tous les acteurs de la société algérienne. Quant à la Conférence nationale préconisée comme une dynamique de changement, celle-ci sera  sans  effet  et on l’a vu avec les gilets jaunes car c’est plutôt une fuite en avant d’un débat qui se situe en porte à faux   des doléances des  concernés et ce temps perdu risque d’attiser les tensions car c’est mettre la  charrue avant les bœufs(2).

 A travers ces imposantes et multiples marches dans tout le territoire national, où toutes les catégories sociales sont représentées, mais où les jeunes sont en force en tant que démographiquement majoritaire dans la société car ce sont  surtout ces derniers qui se sentent les plus concernés car ils voient leur avenir compromis.  En effet, toutes les Révolutions commencent par le ‘’ lumpen – prolétariat ‘’ soit les jeunes en difficulté, précarité, chômage, exclusion, désespoir … et  les  étudiants car ils sont les plus ambitieux, les plus téméraires, les plus conscients et les plus concernés pour leur avenir dans cette descente aux enfers. Quant aux lycéens je préfère ne pas me prononcer car je pense qu’il y a de la manipulation.

On dit qui n’avance pas recule et faire des promesses de changement   à des fins démocratiques, semblent un discours purement démagogique car ce sont les mêmes réformateurs qui avaient  tout bouclé  sur le plan politique et idéologique. Quant au niveau économique  on aurait pu investir dans d’autres projets plus rentables sur le moyen terme comme l’agriculture et le tourisme, or, ils ont été marginalisés  et les deniers dilapidés pour des profits exorbitants évidents, même s’il y a eu une part de distribution de la rente à des fins sociales et comme nos principales ressources le pétrole et le gaz ne font plus d’excédents, le divorce est consommé et la séparation devient un remède salutaire. C’est la seule solution pour calmer le jeu.

Pr. Nadia Lallali         

Sociologue de formation                                                                       Alger, le 19 mars 2019

  1. Lettre ouverte à Mr le Président de la République (Liberté, le 01.03.2014)
  2. lettre à la Nation par la présidence,  adressée le lundi 18 mars 2019, à l’occasion de la célébration du 19 Mars.

Article publié par le Quotidien d'Algérie, le 20 mars 2019

http://lequotidienalgerie.org/2019/03/20/nul-nest-indispensable-%EF%BB%BF/

et ma réponse au général https://tunisitri.wordpress.com/2019/03/25/le-hirak-en-algerie-entre-spontaneite-et-manip-lanalyse-glacante-du-general-francais-dominique-delawarde/?fbclid=IwAR19U4pgF0gORHqzLsvM2-AV1_5HnQ-y5VFUCg4mNhQ95MIrwzJG8P12sxA  

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9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 13:07

Actuellement, ce thème de ‘’ violence ‘’ suscite un intérêt particulier, que ce soit par les institutions de socialisation, les partis, les associations socioculturelles, les groupes idéologiques. En somme, tout le monde est traumatisé en Algérie par les événements, apostrophé et inquiet devant l’ampleur de la violence. De par ses multiples formes, elle est devenue un véritable phénomène de société. Elle s’est propagée même dans les stades, en devenant quasi systématique, lors des rencontres nationales, elle s’est étendue également à nos écoles et universités. Que signifie cette augmentation des violences ? Surtout dans les milieux éducatifs, alors qu’ils sont censés être les lieux de l’intégration sociale ?
En quoi le sport peut être utile ?
Ce questionnement, renvoie à la logique du fonctionnement social par l’apparition de nouvelles données : l’extension des échanges entre groupes de pair hors frontières, l’influence des médias et du développement des nouvelles technologies de l’information et des communications (N.T.I.C.), rendent les mécanismes de la socialisation traditionnelle inopérants et les éducateurs complètement impuissants.
Aussi, il devient nécessaire de comprendre la violence dans ses causes fondamentales. La violence ‘ visible’’ n’étant que le miroir de la violence ‘’ invisible’’. C’est ce qui justifie notre interpellation et nos investigations dans le cadre de notre unité de recherches.

Pr. Nadia Lallali (Yahia-Chérif) 

L'article complet a été  publié le 1 juin 2010  dans : http://www.webreview.dz/spip.php?article2303

 

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4 mai 2017 4 04 /05 /mai /2017 07:02

 

On sait ce qu'on a, mais on ne sait pas ce qu'on aura. J'aurais préféré le brillant Jean Luc Mélenchon, mais je crois qu'il n'y a plus le choix : c'est entre la peste et le choléra et ce dernier se soigne. Je ne dis pas que Macron est la panacée, mais l'un des deux va être Président et il s'avère qu'il est le moins pire,  eu égard du duel d'hier. il s' est montré serein et il sait où il va car son programme semble cohérent. Quant à Marie Le Pen elle cherche ses mots, avec un air méprisant et pompeux ; son projet est vide. Son seul programme est d'exclure les immigrés et ce qui est loin d'être la solution. Je reviens de Stirling, il n'y a pas d'étranger et peu d'habitants et pourtant il y a la crise. En ce qui concerne la monnaie, elle se mélange les pinceaux et on ne sait pas trop si elle va maintenir l'euro ou non puisqu'elle compte prendre son temps. De même pour la retraite à 60 ans qu'elle va proposer en fin de mandat !

 

Aucune voix ne doit se perdre car il y a un risque de faire porter l'autre. J'ai ma mère en France qui va devoir voter et elle attend par téléphone mon avis. Une décision doit être prise, cela ne sert à rien de faire l'autruche car l'abstention fait gagner l'autre; C'est exactement ce qui nous est arrivé en 1991 quand les démocrates se sont abstenus par leur silence et ont fait passer le FIS , le parti islamiste, pendant que leurs partisans faisaient du porte- à -porte: ils s'adressaient même aux personnes âgées en leur disant " votez FIS, votez 6 ". Le résultat, la plupart par la suite ont dû s’exiler ailleurs car il s'agissait de la perte de ce qu'il y a de plus sacré : la liberté. Heureusement, qu'il en restait quelques-uns pour faire les marches et faire appel à l'armée qui a arrêté les élections du deuxième tour qui allait nous mener vers la balkanisation.

Pr. Nadia Lallali (Yahia-chérif)

 " Quand il faut y aller, faut y aller  ",  disaient les braves
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11 avril 2017 2 11 /04 /avril /2017 08:12

Les Juifs sionistes usent et abusent d’une loi qui les protège pleinement et qu’ils instrumentalisent sans limite. Dès que l’on s’insurge et l’on critique le sionisme pour tous ces méfaits sournois dans le monde et non seulement en Palestine, on devient antisémite et passible du pénal. C’est inadmissible car c’est une atteinte à la liberté d’expression, surtout qu’il n’y a pas d’équivalent pour les autres races comme le phénomène de l’islamophobie qui prend de l’ampleur pour les mêmes raisons ou le racisme à l’état pur des autres pays,  victimes de la haine par  ces mêmes personnes.  Oui je dénonce car ces dernières sont partisanes pour faire une épuration ethnique en Israël.

Le malheureux Alain Sorel qui ne fait que dire des vérités pas toujours bonnes à révéler à écoper trois mois de prison fermes rien que cela !  Pour ses déclarations réalistes. Où allons-nous ?  Finalement, le pouvoir maintenant réside dans des  lois injustes, taillées sur mesure pour servir leurs auteurs avec arrogance. C’est comme la loi crapuleuse qui est passée en Israël, pays xénophobe par excellence ; pour la purification des races  et qui  permet de ne pas restituer le corps des prisonniers ; comme ça ils pourront s’en donner à cœur joie au su et au non vu de tous.

PR. Nadia Lallali

 

Il est temps de remettre les pendules à l'heure !
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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 19:46

On ne le saura pas de sitôt, mais le résultat est le même car ceux qui ont pensé qu'il était imprévisible, au point de craindre de lui confier la valise de l'arme nucléaire. Finalement, ils n'ont pas tort. Le président Américain Trump a bien trompé son monde. Il n'a rien d'un pacifique ! Comment peut-il penser en toute intelligence que le régime syrien a utilisé des armes chimiques ? Ce serait vraiment, se tirer une balle dans le pied et les bombardements sont faits pour ne pas aboutir à la paix. C'est encore un gros mensonge, sans gêne et sans vergogne : une insulte à la masse de citoyens du monde que nous sommes; comme ce fut le cas pour l'Irak; dans un but évident de déstabilisation de ce pays. Ces belligérants adeptes de l'impérialisme et du sionisme par voie de fait ont un plan de destruction massive et il y adhère, en toute connaissance de cause. Même si le Président Syrien n'est plus une priorité; la destruction de la Syrie s'avère être toujours à l'ordre du jour pour les belligérants que représentent tous les Présidents Américains à l'ère de la crise mondiale. Avec cette agression, on retombe dans les incertitudes du lendemain, d'un embrasement généralisé dans toute la région. 

 

Pr. Nadia Lallali

Changement de cap à 90 degrés ou  stratégie en Trump - l'oeil ?
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9 novembre 2016 3 09 /11 /novembre /2016 09:07
Poème écrit à chaud en une 1/2 heure, mais j'ai trouvé qu'il manquait de rimes et à présent il est finalisé.

Poème écrit à chaud en une 1/2 heure, mais j'ai trouvé qu'il manquait de rimes et à présent il est finalisé.

Il n’y a pas de mystère, quand il s’agit de voter,

Chacun voit son porte-monnaie,

Ceux qui ont voté pour Trump, à moins que je ne me trompe,

C’est dû à des promesses électorales non considérées

 Et à des conditions de vie,qui se sont dégradées,

Hilary représentant le camp des démocrates, censée lui succéder,

Or, sans aucun état d’âme, elle n’en souffle mot dans son programme.

 

Avec l’ex-Président Obama, son projet consistait à conquérir le monde,

À faire les va-t-en guerre, pour convoiter malhonnêtement le bien d’autrui,

En hypothéquant le peu d’argent du pays,

Par des guerres injustes et onéreuses pour tous ses compères,

Qui en paient un lourd tribut, tout en oubliant ce pourquoi il a été choisi.

 

Par sa couleur,  il avait donné l’espoir,

Pour être  plus proche de la veuve et de l’orphelin,

Aussi, le slogan féministe de la première femme dirigeante du monde qu'on a brandit,

Ce discours démagogique de la discrimination  du sexe et de la race, cette fois n’a pas pris.

 

Ils avaient l’assurance d’une victoire arrangée,

En utilisant des sondages orientés,

et une technologie avancée, 

Mais la machine s’est rouillée; la démocratie étant bien implantée,

Les enjeux ont été dévoilés et les résultats révélés.

 

Le peuple américain a tranché,

Et il s’est prononcé pour la majorité,

Afin que l’on s’occupe un peu plus de lui à l’intérieur, en tant qu'entité,

Car il est miné par le chômage dans la durée et la pauvreté,

Ainsi que la violence qui s’est considérablement aggravée.

 

 Les candidats se sont écharpés, par des mots qui vont restés gravés à jamais.

Il n’en demeure pas moins qu’il apparaît, que  Trump est pour la paix,

mais il ne faut pas trop  le chatouiller, 

Et l’autre pour continuer ses méfaits, qu’elle  a prématurément avoués.

Mais les faits sont têtus et ce duo  médiatisé,

d’un ring verbal sans précédent,n’a pas pu faire oublier la réalité.

 

Alger, le 9/11/2016 à 08h.56

Professeure Nadia Lallali

Sociologue de formation

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31 août 2016 3 31 /08 /août /2016 06:31
Le burkini : un faux débat
​A force de présenter l’Islam comme un épouvantail et de faire l’amalgame entre le terrorisme et les croyants on finit de tomber dans ‘’l’islamophobie, soit la peur de l’Islam et de toute représentation qui pourrait le rappeler dans l’espace publique. C’est pourquoi, les laïques occidentaux ou plutôt spécialement Français ont peur du Burkini, le taxant de symbole de l’islamisme. Je comprends leurs réactions car le racisme est souvent une méconnaissance de la culture de l’autre. Mais ils semblent oublier que la démocratie : C’est d’abord le droit à la différence de toutes les cultures et de toutes les religions. Soit que l’on accepte tous les signes religieux, soit qu’on les rejette tous, sans exception car sinon cela devient de la discrimination 1. (Voir mon article ci-dessous). Ce n’est pas simple, car dans cet imbroglio il y a aussi la liberté individuelle. Qu’est- ce qui prime dans les principes universels ? Voilà toute la difficulté. C’est bien de défendre les valeurs républicaines, mais il faut encore pouvoir les hiérarchiser et voir celles qui sont déterminantes et surtout celles qui sont urgentes. Or, il me semble qu’essayer de trouver des solutions pour résoudre la crise seraient plus judicieux que de parler de tenue vestimentaire qui n’a rien à voir avec les actes effroyables de leurs auteurs ou la hausse du chômage. Je dirai même qu’il peut y avoir une étroite relation avec ce dernier car des personnes même en hidjeb qui choisissent de sortir consomment, des produits solaires de protection, des accessoires pour s’asseoir, des rafraîchissants, s’alimentent quand elles restent un moment et ça fait marcher le commerce.
Si cela peut rassurer, il faut savoir que pour les intégristes terroristes, les femmes ne sortent que pour des causes urgentes et non pour la farniente, il y a presque deux décennies maintenant en Algérie, même le droit de travailler, d’étudier nous étaient proscrits, par ceux qui nous voulaient le chaos, comme le G.I.A. ; à l’image de DAECH. Présentement, entre multiples raisons, certaines femmes le portent par pudeur devant leurs familles, proches ou entourages ou parce qu’elles sont plus à l’aise, voire en tant que lot de consolation, plutôt que de se priver de nager. Le burkini n’est pas la burqa et il n’a pas forcément une connotation idéologique car toutes ne le portent pas par conviction, loin s’en faut. C’est pourquoi, aujourd’hui dans les grandes villes, toutes les côtes font combles par des femmes qui portent le maillot de bains et d’autres le burkini et même certaines qui se lancent avec leurs propres tenues, tant l’envie de nager et d’eau fraîche les incitent à oublier qu’elles sont habillées. Il y a même une unique petite plage, réservée spécialement pour les femmes à Alger, mais l’accès est chèrement payé. Bref, la société des loisirs commencent à émerger car il y a quelques années le littoral n’était pas aussi bondé. Les familles commencent à goûter aux plaisirs partagés de la baignade et du sport. En plus de cela, l’Algérie en juillet et août 2016 s’est quasi- vidée de ses habitants pour aller prendre des vacances en Tunisie car notre infrastructure malgré qu’elle soit devenue vétuste; ne suffit plus, affichant des prix exorbitants, tant l’offre dépasse la demande. Alors pour un souci commercial, il me semble qu’il vaut mieux que les ‘’ musulmans’’ restent chez-eux, dans leurs pays respectifs que de devoir aller ailleurs pour des vacances, quand il y a le choix pour la saison. Sans perdre de vue aussi, que ‘’ l’habit ne fait pas toujours le moine’’. En dehors de l’anecdote, les investisseurs devraient envahir ce créneau.
Nadia Lallali Professeure des Universités en sciences sociales et écrivaine.

Réf 1. ‘’ Position sur le voile et la laïcité ‘’, article édité dans la Nouvelle République du 8/02/2004).

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  • Pr. Nadia Lallali
  • Professeure des Universités et enseignante à l'Université d'Alger depuis 1982
 A mon actif une double culture :
 Toute la scolarité effectuée en France y compris le certificat d'étude jusqu'au doctorat.
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